1 research outputs found

    A case of pediatric stiff-person syndrome in Kenya

    Get PDF
    Background: Stiff-person syndrome (SPS) is a rare progressive autoimmune disease that is especially uncommon in the pediatric population. SPS is often undiagnosed for years. Case: Here we present a 12 year-old girl with a history of insulin dependent diabetes mellitus who presented with epigastric pain and whole body rigidity to a hospital in Eldoret, Kenya. A high-clinical suspicion led to targeted autoimmune testing and diagnosis in 15 days. The serum anti–glutamic acid decarboxylase (GAD) level was greater than 2000 (normal 0-10 IU/ml), strongly supporting the diagnosis of stiff-person syndrome plus. The patient recovered with diazepam, baclofen, and supportive care. Intravenous immunoglobulin was unavailable due to the patient’s economic constraints and challenges in accessing the health facility. Several weeks later she returned with recrudescence of her symptoms. Conclusion: We hope this case presentation will help illustrate the need to build care systems that can address the longitudinal care of patients with neurologic diseases in resource-limited settings.   French title:Un cas pĂ©diatrique de syndrome de la personne raide au Kenya Introduction: Le syndrome de la personne raide (SPR) est une maladie auto-immune progressive rare qui est particulièrement rare dans la population pĂ©diatrique. Le SPR n'y est souvent pas diagnostiquĂ© pendant des annĂ©es. Observation: Nous prĂ©sentons ici le cas d’une fille de 12 ans ayant des antĂ©cĂ©dents de diabète sucrĂ© insulino-dĂ©pendant qui s'est prĂ©sentĂ©e avec des douleurs Ă©pigastriques et une rigiditĂ© corporelle totale dans un hĂ´pital d'Eldoret, au Kenya. Une forte suspicion clinique a conduit Ă  des tests auto-immuns ciblĂ©s et Ă  un diagnostic en 15 jours. Le taux sĂ©rique d'acide anti-glutamique dĂ©carboxylase (GAD) Ă©tait supĂ©rieur Ă  2000 (normal 0-10 UI/ml), ce qui Ă©taye fortement le diagnostic du syndrome de la personne raide plus. Le patient s'est rĂ©tabli avec du diazĂ©pam, du baclofène et des soins de soutien. L’immunoglobuline intraveineuse n’était pas disponible en raison des contraintes Ă©conomiques du patient et des difficultĂ©s d’accès au centre de santĂ©. Plusieurs semaines plus tard, elle est revenue avec une recrudescence de ses symptĂ´mes. Conclusion Nous espĂ©rons que cette observation aidera Ă  illustrer la nĂ©cessitĂ© de crĂ©er des systèmes de soins capables de prendre en charge les soins longitudinaux des patients atteints de maladies neurologiques dans des milieux Ă  ressources limitĂ©es
    corecore